NY Mag/The Cut – « The Uncomfortable Power of Pop-Music Cruelty »

Pourquoi aimons nous les chansons faisant explicitement référence à la violence et la cruauté sexuelle ? Quels éléments vous font accepter la violence d’une œuvre sans lui enlever son statut artistique, et considérer d’autres productions au mieux comme mauvaises, au pire comme de mauvaise foi et dégueulasse (la différence entre Le Dernier Tango à Paris et Irréversible) ? Qu’est-ce qui fait le magnétisme de paroles comme « All the pain that you feel you can tell that we ain’t making no love / But I’ll pretend, oh girl, I’ll pretend.” ? Superbe article sur le cas difficile de la cruauté relationnelle dans la musique. À lire ici.

Par Alexandra Molotkow, le 15/02/2016