The Guardian – « Gorillaz’s Humanz – a party album for a world gone mad »

Avouez-le. Lorsque le refrain asthénique de Clint Eastwood a pour la première fois envahi votre walkman (oui, on avait encore ça à l’époque), vous ne pensiez pas que le side project de Damon Albarn serait toujours d’attaque 17 ans plus tard. Et vous auriez encore moins cru que le groupe reviendrait en 2017 avec un album magnifique navigant entre les styles et les topiques politiques (racisme, maladie mentale, réchauffement climatique…). Et vous n’auriez jamais – jamais – même imaginé que cette mauvaise bête de Noel Gallagher y serait présent en feauturing avec son Némésis de toujours. Et pourtant. Jetez vous sur ce très belle review de Humanz ici.

Alexis Petridis, 27/05/2017